lundi 1 juillet 2013

Wayne Madsen: "conspirationniste est un terme péjoratif pour supprimer le journalisme indépendant"

En partant des révélations de Edward Snowden, ex-employé du service de sécurité américain NSA, l'hebdomadaire Der Spiegel révèle qu'un espionnage méthodique des bureaux du parlement européen a été effectué à Washington et à Bruxelles. Un journaliste américain , ancien sous traitant de la NSA et mis en cause pour son conspirationnisme, déclare dans un journal britannique ne pas comprendre que les autorités européennes soient choquées par des activités datant de la fin de la seconde guerre mondiale. Malgré ce propos qui sent le souffre, il est bien possible que le retrait de l'article du Guardian ait donné plus d'importance que prévu à un quiproquo. Mise en contexte et interview de l'intéressé.


https://www.google.fr/search?client=safari&rls=en&q=Revealed:+secret+European+deals+to+hand+over+private+data+to+America&ie=UTF-8&oe=UTF-8&redir_esc=&ei=LgPQUa3VB8WWPZKZgYAL

Le web a été traversé par cette "rumeur" : des services secrets européens auraient passé des contrats avec les états-unis pour transmettre des données de vie privé. Quand on y réfléchit posément, on se dit pourquoi faire puisqu'avec #PRISM, ils ont déjà tout. Mais on est curieux. Peut-être qu'on va apprendre quelque choses de nouveau. Alors on clique sur ce lien retweeté à tout va et qui déclenche des discussions sans fin.

Et là ce fut le drame : L'article a été retiré. Ce qui était banal réveille le chasseur en nous. On est aux aguets... on a enfin une bonne raison de perdre dix minutes à trois heures pour retrouver ce que l'on veut nous cacher.

Comme dans ce genre de curiosité, nous ne sommes jamais seuls. L'effet de Streisand va prendre aisément le relais, et déjà une version sauvegardée du fameux entretien circule sur Twitter. Immanquablement l'info fait florès : La France, et six autres pays européens, auraient utilisé les infos du programme #PRISM.

Wayne Madsen, désormais journaliste et expert dans la  sécurité, était un expert employé par la NSA il y a quinze ans. Il est régulièrement consulté, lorsqu'il s'agit de ce genre de sujets très proche des théories conspirationnistes. Depuis cet interview, il est d'ailleurs attaqué, pour ses propos antisémites. Il a également produit des enquêtes dont l'une d'entre elle voulait mettre en évidence l'homosexualité de Barack Obama. Voilà ce que dit cet ancien de la NSA dans un blog, conspirationniste, source de l'article du Guardian/Observer.
Madsen named seven EU countries that have been substantially engaged in communications intelligence gathering alongside the US. These are Britain, Denmark, the Netherlands, France, Germany, Spain, and Italy. Those seven countries have formal second and third party status under the NSA’s signals intelligence agreements, and are contractually bound to the US.
Madsen a nommé sept pays européens qui ont engagés des échanges importants d'informations avec les Etats-Unis. Il s'agit de l'Angleterre, du Danemark, des Pays-Bas, de la France, de l'Allemagne, de l'Espagne et de l'Italie. Ces sept pays ont des accords de partenariat privilégié ou de tierce partie sur l'échange de signaux d'intelligence. Ils sont également liés par contrats aux États-Unis.
Pour lui, donc, des accords existent entre la France et les États-Unis pour échanger des informations captées par leur service de renseignement, et  pense que le "tollé moralisateur" des autorités européennes est déplacé. Une réaction qui vient en plein scandale #PRISM et surtout avec la révélation Dimanche, par Der Spiegel.  L'article de l'hebdomadaire allemand mentionne les documents d'Edward Snowden qui relate un espionnage "à l'ancienne" (pose de micros) et infiltration des ordinateurs des bureaux du parlement européen à Washington et de certains bureaux à Bruxelles.

Tandis que ces révélations semblent mettre en péril les négociations sur le commerce en cours, comme a déclaré Viviane Redding, la commissaire européenne à la justice, aux droits fondamentaux et à la citoyenneté.  L'ex de la NSA et actuel enquêteur tente de relativiser cette colère. Il explique que cela fait depuis la fin de la seconde guerre mondiale que les États-Unis ont des accords d'espionnage avec les pays européens.  Le partage de ces "SIGINT", qui sont des signaux de renseignements, perdurent et se sont même accrus alors que les services américains en auraient la part du lion. Cela se fait notamment à travers l'accès partagé de la fibre optique (TAT-14)  qui relie les deux continents américains et européens. Un câble parmi la multitude de Cable optiques actuellement opérationnels et dont la grande majorité est la propriété de sociétés privés.



J'ai contacté Wayne Madsen pour lui demander des informations complémentaires sur ses allégations : Voici la conversation :

Could you tell me more about those contracts between the six countries and us gov ?

The two attached declassified US documents describe NSA's Third party relationships with countries other than the "Second Party" countries of UK, Canada, Australia, and New Zealand.

The second document on page 8 has the list of the Signals Intelligence (SIGINT) Exchange descriptors. Each of those code words corresponds to a Third Party intelligence sharing partner (DIKTER is Norway and SETTEE is South Korea). The others would include the nations I named to The Obsever.


The telegraph was prompt to call you a "fruit loop" and there is this paper on the nation about you. How do you react ? 

It's a shame that the personal attacks on me have clouded the important information that Germany and others are being disingenuous when they claim they are "shocked' by British-NSA spying on the TAT 14 cable in Cornwall. The Germans and Spanish intelligence services have for years been tapping the ATLANTIS-2 cable at Conil de la Frontera, Spain and sending the "take" to NSA. The Germans also listen in on Russian and East European communications for NSA, including on members of the EU.

That is the issue here. The hypocrisy of Merkel, Hollande, and others.

As far as the Telegraph hit piece on me. I am not now a NSA contractor. I am a muckraking investigative journalist and pattern myself after Jack Anderson, Drew Pearson, and I.F. Stone. That's how I now make my living, tracking down stories that no one else will investigate even id it leads to Chicago gay bath houses and places once frequented by Mr. Obama. My trip to Chicago came after a tip from someone close to jailed ex-Illinois Gov. Rod Blagojevich, who was jailed by the Obama Justice Dept. because of his knowledge of Obama's and Rah Emanuel's own corruption in Chicago. Too bad the Telegraph, which represents the Tories, didn't bother to ask about those details.

The Telegraph fails to mention my work in Rwanda for which I was asked to testify before French anti-terrorism judge Jean-Louis Brugiere and the US House of Representatives.

The piece by Neal Gabler in The Nation refers to me as a right wing blogger. I was one of George W. Bush/Dick Cheney's biggest critics and outed Cheney as a client of the late "DC Madam," Deborah Jeane Palfrey, who counted Cheney among her sex escort service clients when he was the chief of Halliburton. Palfrey turned her complete phone list over to me and I used that to help track down Cheney's involvement. I worked with The Globe, a tabloid, on that story, but, then again, that is how I make a living today. It has nothing to do with the veracity of NSA's overseas agreements with Europe to conduct surveillance. 

 The Nation has hired a group of hacks lately. I wrote the Introduction to "Forbidden Truth" about the Saudi role in 9/11, which was published by  Nation Books, owned  by The Nation magazine. They appear to have forgotten about that when they accuse me of being a right wing blogger. Anyway, the term "conspiracy theorist" is used by those, including government supporters, as a pejorative to suppress independent journalism. 

Perhaps The Telegraph should concentrate more on exposing the pedophile activities of leading Tory politicians than in attacking me. Jimmy Savile could not have molested so many children for so many years had The Telegraph pursued some "conspiracy theories" of the time.

Some of the campaign against me and Glenn Greenwald and Edward Snowden appears to be coordinated by a Dr. John Schindler, a full professor at the US Naval War College in Newport, Rhode Island. He has used his affiliation with the college  in his statements to the media. As a former student of the Naval War College, I have complained to the college administration about Schindler using his title and affiliation to attack an alum of the same college as a fabricator, kook, and anti-Semitic. I'm well aware of the tactics of the neo-cons. They were developed by Joseph Goebbels in the 1930s. My Danish journalist grandmother fought against those tactics in Denmark in the 1930s and 40s I continue to fight them today.


2 ème mail : Thank you very much for your answers, the documents are from 2005-2006. what make you believe there are still valid ?

The third and fourth party agreements have been in place since the Cold War. My sources inside NSA and GCHQ say they are still very much in existence and growing in scope.

En conclusion, je dirais : qu'il s'agit de vieux documents, cela ne prouve donc rien. Si on a envie de se faire plaisir et de croire M. Madsen, on constate que l'on ne parle pas de la même chose. Les révélations du Spiegel parle de micros et d'espionnage d'ordinateurs :
The document suggests that in addition to installing bugs in the building in downtown Washington, DC, the European Unionrepresentation's computer network was also infiltrated. In this way, the Americans were able to access discussions in EU rooms as well as emails and internal documents on computers.
Lorsque les documents consultés par le Spiegel parle d'espionnage des locaux du parlement européen, Wayne Madsen parle, lui, d'accords d'échange d'informations. L'article du Guardian a donc fait l'erreur de mettre ça en rapport avec PRISM. Mais sincèrement, je ne vois pas le rapport.

Enfin, le Guardian a bien fait d'enlever l'article, non pas parce que la source n'était pas "fiable", mais surtout parce que le sujet n'est pas le même. À la limite, on peut faire un article de fond sur les coopérations entre services secrets européens et américains...
Je veux bien en faire une pige, tiens ;-)

Voici donc un univers extraordinaire, chaque information devient exceptionnelle, chaque sources, chaque fuites fait monter l'adrénaline. Dans  l'ivresse on veut y voir ce qu'on a toujours pensé : Ils sont partout, ils savent ce que nous faisons, et savent tout de notre vie, notre destin a déjà été programmé de longues années à l'avance. En fait ce serait presque rassurant, ce qui est trop compliqué pour faire sens devient par la magie de la fuite d'information, et de la source unique, l'organisation la plus logique de notre monde.  Si on ne comprend pas c'est sans doute parce qu'on essaie de nous cacher la vérité. Forcément, on ne pourra pas lutter. Forcément. #Oupas.

bon je suis en retard, et je pars en vacance, je dois poster... pardon pour les fautes d'orthographes.

Pour aller plus loin :
Le blog de Wayne Madsen.

jeudi 27 juin 2013

test en direct d'une Fnac ...


La fnac  fait des soldes sur les mac book AIR



... Mais franchement je me demande si c’est très malin d’acheter maintenant un truc aussi cher. 999,90 € tout de même... La question est de savoir ce que je veux faire avec .. et forcément c’est là le vrai soucis... par exemple est-ce que je peux y mettre un serveur ?
La taille du disque dur est de 128 Go avec l’ajout de Xcode je risque de perdre pas mal de place. De la même manière, il est à priori hors de question de faire du montage vidéo dessus.

Donc listons (dans le désordre) ce que je veux faire avec :
  • Accéder au  net : c’est évidemment possible.
  • Regarder des films : avec un écran de 11’’ cela va me paraitre petit. Mais il faut bien avouer que j’ai l’habitude de regarder mes séries sur iPad. Par ailleurs si j’utilise mon disque dur externe, cela va probablement faire du mal à la batterie.
  • Écrire : écrire des articles et prendre des notes. Là apparemment, on s’en sort bien.
  • Gérer des photos … Ah, là, soucis.. le 11’ pouces ne dispose pas de lecteur SD. Pour dérusher et contrôler les images voir pour les transferer sur un disque dur, ça devient très chaud.
    En essayant d'ajouter une photo, ça devient aussi compliqué : avec photo Booth je n'ai pas trouvé comment inverser l'image. Du coup, il me faudra surement une application spécifique pour les images. Gimp, ou tout autre beaucoup plus cher. Je me rends compte que la photo ne va pas être le fort de cet ordinateur. Et sinon tout de suite il faut monter dans la gamme au niveau du disque dur.


  • Quoi d'autre ? Je suis un peu déçu pour l'aspect photo.  La vidéo sera sans doute pas suffisamment approvisionnée en terme d'applications.
Une jeune étudiante à la veille de son entrée à la FAC , se pose la question elle-aussi. Le seul avec lequel elle a déjà une expérience est un mac pro qui appartient à sa mère et date de trois ans.

Evidement le premier inconvénient est l'absence de lecteur DVD. JE suis du coup assez étonné de voir une jeune femme réclamer cet objet du passé. Regarder un film aujourd'hui coute moins cher lorsque l'on le télécarte, comparé à l'achat en magasin.
Je lui conseille donc d'acheter un disque dur externe en USB 3. Le terme l'effraie un peu, mais lorsque je lui dis qu'elle pourra garder ses films sur son disque externe, elle semble tout de suite plus rassurée.

Ensuite, je ne suis pas dupe, quand elle me dit qu'elle fera essentiellement du traitement de texte avec cet ordinateur , vu qu'elle est en ES. D'ailleurs son «Oh non je ne vais m'exploser les yeux !» me confirme qu'elle aura besoin d'un peu de confort de visualisation.

Bref, moi j'arrive bien à écrire avec un Mac Book AIR si ce n'est la fermeture de Safari quand je ferme l'ordinateur. La durée de vie de la Batterie de quelque 9h est extraordinaire. Mais c'est pour le 13' que la durée de batterie est incroyable avec ces 12h !
Cependant tout de suite on monte en gamme avec un tarif de quelque 1099 €. Ça ne fait pas tant que ça vu les avantages qu'on en retire. Je veux dire la taille de l'écran et  la durée de la batterie.

La stratégie commerciale est assez évidente : les prix du bas de gamme sont suffisamment haut pour pouvoir comparer avec le produit tête de pont de  Apple.  c'est cent euros ne paraissent pas importants au regard des avantages : un écran 13', un slot SD HC et une autonomie de 12h, donc... et de dix heures pour regarder des films ;).

J'ai l'impression, par contre que les commerciaux de la FNAC se sont trompés sur le site de vente en ligne : parce que mettre l'un à coté de l'autre un mac book pro à 1199 € et un mac book air à 1099  € rendent le choix confus. Pourquoi acheter un ordi à 1099 avec un disque dur de 128 Go alors que le mac book pro a un disque dur de 500 Go..  Oui les geeks compareront les 5400 tr/min du dernier et les 128 Go en SSD... Mais combien de clients font la différence , vraiment ? Et surtout est-ce l'explication «c'est plus rapide» est compréhensible ? Elle est faite à partir d'un système de référence du vendeur-spécialiste pas forcément pour l'acheteur. Et est-ce vraiment utile 

Maintenant que ce soit en ligne ou en magasin le prix est le même.

Pour voir la différence je viens de passer sur un MBA 13' .... oui bon c'est nettement mieux quand même. On sent moins l'écran qui réduit tout pour rentrer applications dans l'écran. Là, je me fait moins mal aux yeux comme disait la jeune fille. Vraiment est très appréciable d'entrée.

Deuxième client , beaucoup plus agé qui vient sur le stand apple. il touche l'écran pour faire déplacer les fenêtres... Windows 8 est passé par là.  Il se pose des questions, vu qu'il a un PC à la maison mais il se demande si ce n'est pas trop cher. C'est le critère de ralliement des macophiles.. le prix. 

Un autre client passe mais mon accès à gmail est révoqué par le pare-feu de la FNAC. J'ai cette impression que les vendeurs n'apprécient pas que je reste ainsi à utiliser les ordis sans claires intentions d'acheter...

 Je m'en vais.

vendredi 25 janvier 2013

#limpopo #Inondations au #Mozambique : 15000 crocodiles dans la nature

jeudi 17 janvier 2013

histoire ordinaire d'une «une» obtenu grâce à Twitter



C'est l'histoire d'un article que j'ai reçu il y a quelques heures sur mon téléphone sous la forme d'une alerte. Ce qui ressemble à un scoop. Tout cela s'est passé par Twitter de manière assez simple. Je l'avais vu passer dans l'après-midi, mais je ne pensais pas que cela allait donner un article et une «Une» sur LeMonde.fr

Évidemment cela n'enlève rien au travail du journaliste et à la vérification qu'il a dû faire. Le résultat est là, un article riche d'intérêt qui permet de mieux comprendre comment les terroristes n'ont pas agi à la légère et savaient très exactement ce qu'ils faisaient.

Cependant, je me demande si on doit effacer les traces qui nous ont conduit à une "source" ?

mercredi 16 janvier 2013

Ce que va changer le « Graph search » de Facebook


Facebook s'attaquerait-il au monopole absolu de Google ? Non, pas exactement. Mark Zuckerberg a découvert grâce à son outil que les relations interpersonnelles donnent une valeur ajoutée à l'information. Ce que Google a mis beaucoup de temps à comprendre. Voilà donc que le mastodonte au milliard d'utilisateurs s'avance sur la chasse gardée du géant de Mountain Valley. À quelle sauce va donc nous manger le réseau social qui vaut 67 milliards de dollars et surtout quel impact pour les journalistes ?

Dans un billet court, le service est bien "vendue" : « La nouvelle recherche permettra aux journalistes de faire des recherche plus fournies quand ils chercheront un expert ou une histoire».
Pour Facebook il suffira de faire une recherche du type "journalists" pour avoir une liste de contacts utiles.



La méthode s'inspire du web sémantique dont Facebook est un grand promoteur depuis déjà plusieurs années.

Le Graph Search s'inspire du web sémantique


Qu'est-ce que le web sémantique ? C'est une organisation des données qui permet de relier des mots par un sens. Par exemple dans Victor Hugo est l'auteur des misérables l'information «Victor Hugo» est relié à «Misérables» par le sens «auteur de». C'est une organisation plus riche que l'organisation classique car elle permet d'aller un peu plus vite dans les types de recherche que l'ont fait. On sait par exemple que, si une personne est plus intéressé par le cinéma que la littérature, le «auteur de» aura moins de sens. L'ordre d'affichage des informations sera donc différent.

Le Web sémantique peut donc permettre de 1) trouver l'information plus rapidement et 2) de «raconter» les informations de manière un peu différente pour le journaliste.

Le Graph Search pour trouver des photos

C'est le deuxième exemple donné après celui des experts et qui met pleinement à profit la mécanique du web sémantique. L'exemple donné est tiré des jeux olympique à Londres. Si vous faites une recherche du type  “photos taken at Olympic Park” vous aurez ce type de résultat :


Quid des droits dérivés dus à l'utilisation de photos issues de Facebook ?

C'est à mon avis, le point le plus sensible de ce nouveau moteur de recherche. Dans la mesure où on est clairement amener à utiliser des photos de non professionnel.

Voilà ce que dit Facebook quant aux contenus postés sur votre profil public :

you grant us a non-exclusive, transferable, sub-licensable, royalty-free, worldwide license to use any IP (Intellectual Property) content that you post on or in connection with Facebook (IP License). This IP License ends when you delete your IP content or your account unless your content has been shared with others, and they have not deleted it.
Vous nous avez conféré un droit sans exclusivité, sans conditions, sans royalties, afin d'utiliser tous les contenus que vous postez connecté ou non sur Facebook. Ces droits de propriété intellectuelle prennent fin lorsque vous effacerez votre contenu ou votre compte sous réserve que vous ne l'ayez pas partagé avec d'autres personnes et que celles-ci n'aient pas effacé le contenu.

Donc tout appartient à Facebook à partir du moment où vous y mettez un contenu.  Si vous avez l'autorisation de celui qui a pris la photo, vous pourrez l'inclure dans votre article.

En conclusion, le Graph Search donnera plus envie aux utilisateurs de poster leurs photos, un peu comme pour Tumblr, parce qu'il sera plus facile à trouver. En créant, au passage, une raison de plus de passer son temps sur Facebook, la société de Mark Zuckerberg veut faciliter la vie aux journalistes en jouant tout à la fois sur le narcissisme des utilisateurs et sur ceux qui mettent en valeur le contenu des facebookeurs.